Publié le 16 octobre 2024
Lecture : 3 minutes.
« Je suis un homme noir libre », déclarait Kemi Seba, le 16 mars 2024, au moment de brûler son passeport français, qui était, selon lui, un symbole de soumission à l’ancienne puissance coloniale. Libre, le militant néo-panafricaniste ne l’est cependant plus depuis son arrestation, le 14 octobre à Paris, capitale d’une France qu’il combat, en compagnie de son fidèle bras droit, Hery Djehuty.
Les