L’actuel numéro deux du Rassemblement national, qui était entendu mardi, s’est faiblement défendu. En onze mois, un seul appel téléphonique avait notamment été échangé avec Laurent Salles, qui travaillait au siège du parti.
Au procès des assistants du FN, la défense embarrassée de Louis Aliot : « C’est une procédure un peu baroque »
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