Publié le 7 novembre 2024
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Dans quelques jours, début décembre, la cinquième saison de la Ligue africaine de basket (BAL, pour « Basket Africa League ») va démarrer sur le continent. Née en 2019, la BAL, « petite sœur africaine » de la NBA, a de très grandes ambitions. « Nous sommes en train de créer quelque chose, en Afrique, qui permettra à un enfant de rêver d’atteindre le plus haut niveau de basketball sur le continent, sans avoir à le quitter », affirme John Manyo-Plange, vice-président de la BAL, en charge de la stratégie de l’encore toute jeune fédération.
Dans l’entretien en vidéo qu’il a accordé à Jeune Afrique en marge de l’Africa Day, qui s’est tenu début octobre à Paris, John Manyo-Plange insiste également sur la nécessité de « promouvoir les talents africains mais aussi d’offrir un flux de talents qui va dans les deux sens ». Il en veut notamment pour preuve que « de grands joueurs viennent jouer dans la BAL, depuis l’Europe ou les États-Unis ».
