Ce n’est pas comme si l’immobilier n’était pas déjà fortement taxé : imposition des loyers à l’impôt sur le revenu, donc au taux marginal d’imposition du contribuable, taux qui peut grimper jusqu’à 45 % plus 17,2 % de prélèvements sociaux, soit 62,2 % – quand les placements financiers bénéficient de la flat tax à 30 % –, taxation de tous les biens immobiliers à l’impôt sur la fortune immobilière (IFI) – quand les autres en sont exonérés –, taxes foncières, droits de mutation lors de l’achat d’un bien… N’en jetez plus et pourtant, si !
Le gouvernement s’apprête à relever ces derniers, appelés communément frais de notaire, pour aider les départements confrontés à une baisse drastique de leurs recettes due à la diminution des transactions immobilières. Ces dernières, qui atteignaient 16,4 m…