La soirée mondaine du 2 novembre dernier, qui a viré au cauchemar et éclabousse quelques-unes des plus grosses fortunes du royaume, vient de connaître un nouveau rebondissement : Ghita Essoulami Rahal est suspectée par la plaignante de lui avoir fait absorber du GHB. Une mise en cause que l’héritière de l’empire de l’événementiel nie en bloc.
Affaire du viol de Casablanca : quand la victime française implique l’héritière Rahal
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