Une semaine après l’attaque du détachement de Mansila, le 11 juin, les autorités n’ont toujours pas communiqué ni fourni de bilan officiel. Et pour cause : à en croire les chiffres avancés par plusieurs sources militaires et les assaillants du Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (GSIM ou JNIM, en arabe), au moins une centaine de soldats ont été tués dans cette localité du nord-est du
Au Burkina Faso, une « hécatombe » pour l’armée à Mansila
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