Interrogé ce mardi matin sur Europe 1 et CNews, le président du Rassemblement national a laissé entendre qu’il refuserait Matignon si son parti n’obtenait pas de majorité absolue lors des élections législatives. « Si demain, les Français plaçaient le pays dans une situation de majorité relative (…), alors on ne pourrait pas changer les choses », a-t-il affirmé, refusant d’être « le collaborateur du président de la République ».
Dans une interview donnée au Parisien, il a également renvoyé à « un second temps » la suppression de la TVA sur les produits de première nécessité. Déjà, la semaine dernière, sur RTL, il avait fait marche arrière sur l’abrogation de la réforme des retraites pour des raisons économiques.
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