L’ex-femme d’Ahmed El Sakka sort de son silence pour la première fois

L'animatrice égyptienne Maha El Saghir, ex-épouse de l'acteur égyptien Ahmed El Sakka, a publié un communiqué dans lequel elle s'exprime pour la première fois depuis la crise liée à sa séparation de son mari. L'animatrice égyptienne a affirmé dans son communiqué qu'elle "est restée silencieuse longtemps, supportant plus que ce qu'elle pouvait, non par faiblesse ou par peur, mais par respect pour elle-même et pour ses enfants". Elle a poursuivi en déclarant : "J'ai toujours cru que la dignité réside dans le silence… et que préserver les foyers est plus important que de s'engager dans les détails." Elle explique avoir découvert que "certains ne comprennent pas cela, et parlent sans conscience, s'engageant dans des discussions erronées qui n'ont rien à voir avec la vérité, sans réaliser que derrière chaque mot se trouvent des cœurs qui souffrent et des foyers qui se fissurent." Maha El Saghir a demandé à tout le monde de laisser son nom en dehors de tout contexte qui ne la concerne pas, et de ne pas l'impliquer dans des affaires dont elle n'est pas à l'origine. L'animatrice égyptienne a menacé de prendre toutes les mesures légales nécessaires pour préserver sa dignité et les droits de ses enfants et de sa famille, si ces abus ne cessaient pas. Elle a révélé sa nouvelle approche pour gérer la crise en déclarant : "Le silence n'est pas toujours un signe de sagesse… Parfois, il est nécessaire de prendre une position ferme… car la dignité humaine n'est pas un jeu ou un sujet de divertissement." La réaction de l'animatrice égyptienne intervient dans le contexte des rumeurs récentes qui la concernaient, évoquant son intention de se remarier après l'annonce de sa séparation de son mari. Ahmed El Sakka avait annoncé il y a deux semaines son divorce après un mariage qui a duré plus de 26 ans et qui a donné naissance à trois enfants, ce qui a ouvert la porte à de nombreuses spéculations et histoires autour de cette affaire. Le Conseil suprême de régulation des médias, présidé par l'ingénieur Khaled Abdel Aziz, a reçu une plainte de l'animatrice égyptienne se plaignant de certains médias et sites d'information, ainsi que des pages et chaînes affiliées sur les réseaux sociaux, qui publient de fausses nouvelles et violent la vie privée de sa famille et d'elle-même. La plainte précise que certains médias ont pris l'habitude de publier quotidiennement ce contenu, en modifiant les méthodes de présentation à l'aide de techniques médiatiques variées, ce qui reflète une intention de nuire et de diffamer. L'animatrice a demandé dans sa plainte que des mesures légales soient prises contre les responsables de la gestion de ces sites et médias. Le Conseil suprême de régulation des médias examinera la plainte et prendra les mesures légales nécessaires à cet égard conformément aux règlements et lois régissant le travail des médias, garantissant ainsi la protection des droits et de la dignité des individus, le respect de la vie privée et la lutte contre toutes les infractions.