Heinrich Schutz à la fin de sa vie avait laissé un cycle de motets à double chœur conçus comme le bilan de toute une vie, mais les partitions étaient perdues. En 1900 elles sont retrouvées dans les archives de l’église de Guben.
Six cahiers manuscrits regroupant des motets ultimes de Heinrich Schütz – qu’on appela immédiatement son « Opus ultimum » – ou encore son chant du cygne ; 30 ans plus tard, c’est l’écrivain Stephan Zweig en personne qui acheta chez un antiquaire les parties de continuo qui manquait.
Arabesques
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