L’enjeu était d’importance. Six semaines avant les élections législatives anticipées, le Premier ministre, Ousmane Sonko, et le maire de Dakar, Barthélémy Dias, allaient-ils voir leur passé judiciaire les rattraper, et les requêtes déposées contre eux devant le Conseil constitutionnel sonner le glas de leurs ambitions, au risque d’emporter dans leur chute leurs listes respectives ?
Le 7 octobre,