Treize ans après la chute de Ben Ali, nombreux sont les Tunisiens qui considèrent que la situation n’est guère meilleure aujourd’hui. Pour analyser cette dynamique et ses ratés, l’économiste compare la période post-2011 à l’indépendance de 1956.
Baccar Gherib : « La révolution tunisienne de 2011 a échoué parce qu’elle a oublié la question sociale »
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