La Cour d’appel de Jendouba a confirmé le verdict en première instance condamnant Ayachi Zammel, candidat à l’élection présidentielle, à une peine d’un an et huit mois de prison.
Ce jugement, initialement rendu par le tribunal de première instance de Jendouba, a été maintenu, malgré les efforts de la défense pour contester cette décision.
Selon Abdessatar Messaoudi, avocat et membre du comité de défense de Zammel, ce jugement reste susceptible de recours en cassation, une voie qu’ils envisagent d’emprunter.
Il est important de rappeler que Zammel avait déjà été condamné par la chambre correctionnelle du tribunal de première instance de Tunis 2 à une peine de trois ans d’emprisonnement pour chaque affaire parmi les quatre dossiers le concernant, soit un total de 12 ans de prison. Ces condamnations sont accompagnées d’une interdiction de vote, en lien avec des accusations de falsification de parrainages dans le cadre des élections présidentielles.
Zammel figure parmi les trois candidats en lice pour l’élection présidentielle prévue dimanche prochain.