Le Parlement français a voté pour l’inscription explicitement dans la Constitution l’interruption volontaire de grossesse (IVG).
La France devient donc ce lundi le premier pays à inscrire explicitement dans sa Constitution l’interruption volontaire de grossesse (IVG).
« Nous avons une dette morale » envers toutes les femmes qui ont « souffert dans leur chair » d’avortements illégaux, a déclaré le Premier ministre français Gabriel Attal, en ouvrant devant les deux chambres du parlement réunies en Congrès les débats visant à inscrire dans la Constitution la liberté de recourir à l’avortement.
Pour sa part, le président Emanuel Macron qui veut que le 8 mars, journée des droits des femmes fasse l’objet d’une « cérémonie populaire la plus ouverte possible » prononcera un discours dédié vendredi prochain.