Il restait un petit peu de place sur son CV déjà bien fourni, alors Elon Musk s’est déclaré candidat, histoire d’ajouter une ligne. En plus de diriger l’entreprise de véhicules électriques Tesla, celles de fusées réutilisables SpaceX, de satellites Starlink, d’intelligence artificielle X.AI, d’implants cérébraux Neuralink ou encore le réseau social X, le multi-entrepreneur, né à Pretoria, en Afrique du Sud, il y a cinquante-trois ans, pourrait, avec l’arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche, prendre la tête d’une « commission gouvernementale chargée de mener un audit complet en termes financiers et de performances de la totalité du gouvernement fédéral, en vue de faire des recommandations pour des réformes draconiennes », comme l’a expliqué celui qui s’apprête à devenir le 47e prési…