Elles sont serveuses, hôtesses, réceptionnistes et n’avaient aucune intention de tomber dans la prostitution. Dans les années 2010, après la crise post-électorale en Côte d’Ivoire, la vie devient plus chère. Pour joindre les deux bouts, des jeunes filles se lancent dans une activité parallèle. Le « bizi » est né. Si l’offre est difficile à chiffrer, les observateurs locaux constatent que les plateformes de réseaux sociaux comptent toujours plus de nouveaux profils. Enquête sur une pratique dangereuse qui se banalise.
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