A l’heure de prendre officiellement, mardi 24 décembre, à quelques heures du réveillon de Noël, ses nouvelles fonctions de ministre des sports, de la jeunesse et de la vie associative, Marie Barsacq a beaucoup fait référence à Paris 2024.
Il faut dire que cette quinquagénaire, qui est l’une des surprises du casting gouvernemental élaboré par François Bayrou – elle n’a été informée de sa nomination que lundi – a travaillé ces huit dernières années au sein du Comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop).
Qui plus est, en tant que directrice exécutive de cette structure, elle était chargée de mettre en œuvre des programmes à travers lesquels les Jeux pouvaient avoir un impact et laisser un héritage, avec, en fil rouge, l’idée que « le sport peut tout changer ». Une « fiche de poste » pas très éloignée, en somme, de celle de ministre des sports, de la jeunesse et de la vie associative. « Je vais utiliser la méthode que j’ai apprise auprès de Tony Estanguet », le président de Paris 2024, a déclaré Mme Barsacq dans son discours lors de la passation des pouvoirs avec Gil Avérous.
Il vous reste 76.75% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
