Le comité de santé, des femmes, des familles, des affaires sociales et des handicaps a tenu une session aujourd’hui, jeudi, pour écouter les représentants des conseils nationaux de la doyenne des médecins, du doyenne des dentistes et des pharmaciens de l’autorité concernant la proposition de droit liée au contrôle du statut général du secteur de la santé, en présence de représentants des propriétaires d’initiative.
Les invités ont affirmé au début de la session selon laquelle la proposition de droit devait figurer dans le cadre d’une stratégie intégrée pour faire progresser le secteur de la santé, ce qui exige que le texte soit complet pour les différents fils travaillant dans le domaine de la santé et en harmonie avec le reste des textes réglementant le secteur, y compris en particulier la loi sur les droits des bénéficiaires des bénéficiaires dans les services de santé et la responsabilité médicale, le médecin du médecin et le 22 juillet 1991 LA LA LA LA LAGE ORGANCE.
Ils ont également montré dans le même contexte que les propriétaires de l’initiative connaissaient leur formulation dans une large mesure des dispositions du statut général de l’emploi public tout en essayant de modifier certaines saisons dans la direction de leur pertinence avec les particularités du secteur de la santé, ce qui indique que ce système est ancien, où il remonte à l’année 1983 et doit à son tour de modifier le rythme de la santé.
Ils ont souligné que les dispositions du dixième chapitre de la proposition de droit stipulent les mêmes dispositions du dixième chapitre du droit des emplois publics qui nécessitent la nécessité du profil de chaque aide au secteur de la santé à contenir tous les articles liés à ses conditions civiles, familiales et administratives, la numérotation et l’organisation, qui ne sont pas plus conformes aux exigences de l’âge qui impose la numérisation en tant que condition fondamentale pour un bon gouverneur.
Ils ont soumis un certain nombre de propositions en attendant plus de profondeur dans l’étude des classes et pour fournir au comité les propositions de modification par écrit, y compris la nécessité d’élargir la liste des agents et des pneus couverts par les bourses mentionnées dans cette proposition, et la nécessité de renforcer la motivation grâce à cette proposition pour encourager les agents de santé à faire plus de dons et de dons.
Les interlocuteurs ont également considéré que la disposition selon laquelle les professions de la santé considèrent une profession ardue impose l’adoption de plusieurs dispositions qui dépassent le domaine des systèmes de base et les incitations financières à inclure en particulier les systèmes de retraite et le cabinet social des agents de la santé.
L’exclusion des personnes handicapées et des besoins spéciaux a été proposée à partir des conditions mentionnées dans le chapitre 19 dans le domaine de l’attribution, en plus de vérifier le responsable du chef du chef de l’administration mentionné au chapitre 22 et de prendre en compte les médecins et les dentistes travaillant dans le système de santé publics qui y sont soumis à l’autorité disciplinaire en raison de l’autorité de supervise et non de l’autorité du siège social qui y travaille. Ils ont également suggéré d’ajouter des sociétés scientifiques dans le cinquième point du chapitre 41.
Au cours de la discussion, un certain nombre de personnes impliquées ont considéré que cette loi contribuerait à encourager les professionnels de la santé et à les motiver à travailler d’une manière qui réduit la migration des médecins et des cadres de santé et de leur réticence à travailler dans les régions intérieures, soulignant la nécessité de approfondir son étude et de domestiquer les opinions de divers parties pertinentes afin que le texte final soit pratique et tient compte de la réalité de la santé et de ses travailleurs de la santé et de ses travailleurs.
À la fin de la session, le bureau du comité a appelé des représentants des doyens à soumettre leurs propositions afin d’être domestiqués par le comité qui continueront d’étudier la proposition d’écouter les divers parties concernées, y compris le ministère de la Santé, le ministère des Finances, le ministère des Affaires sociales et toutes les parties qui expriment le désir de fournir un ajout autour de cela.