Avec les Jeux Olympiques, la France est sous le feu des projecteurs… et dans le viseur des hackers. Le comité d’organisation des Jeux Olympiques redoute 4 milliards de cyberattaques, soit 10 fois plus qu’aux Jeux de Tokyo en 2021.
Panique à bord ?
Les attaques attendues concernent d’abord les infrastructures : installations olympiques et réseaux de télécommunications. Si des cyberattaques réussissent, elles perturberont fortement l’événement et pourraient même causer des dommages matériels et physiques.
L’organisation des Jeux Olympiques ne sera pas la seule cible : c’est la France entière qui sera concernée. Entreprises, particuliers… Chacun d’entre nous sera visé par des cyberattaques (phishing, quishing, bornes USB piégées…) plus ou moins conséquentes, avec un objectif commun : voler nos données et notre argent.
Des mesures suffisantes ?
Les organisateurs ont massivement investi dans des mesures de cybersécurité : pare-feu avancés, systèmes de détection d’intrusions… Des centres de sécurité opérationnels surveilleront aussi en temps réel les activités suspectes pour répondre rapidement aux incidents.
Les nouveaux athlètes de la cybersécurité
Des mesures essentielles mais face à ces cybermenaces, les individus restent la faille préférée des hackers. La meilleure façon de les transformer en bouclier : les sensibiliser à la cybersécurité. La plateforme de sensibilisation gamifiée Kamaé propose un entraînement spécial cybermenaces liées aux JO. Qui aura la médaille d’or cybersécurité des JO Paris 2024 ?
