Huit des seize clubs qui composent la Ligue 1 algérienne sont détenus par de grosses sociétés, la plupart étatiques, et disposent donc de moyens conséquents. Pour davantage d’équité, de nombreux acteurs du football local voudraient que tous les clubs bénéficient d’une assise financière équivalente et en appellent à l’État.