« C’est une réaction normale du marché. Si nous avions de l’argent, on rachèterait nos titres », résume un haut fonctionnaire camerounais en réaction à la défiance qui s’est emparée des investisseurs internationaux à l’égard des euro-obligations du Cameroun. Défiance consécutive aux rumeurs alarmistes sur l’état de santé du président Paul Biya.
Comme l’indiquaient nos confrères de Bloomberg, le