Le 11 novembre 2024, Moncef Marzouki a révélé que son frère, Mokhles Marzouki, avait été convoqué au poste de police d’El Kantaoui, dans le gouvernorat de Sousse, pour recevoir une notification concernant les nouvelles démarches judiciaires liées à son dossier.
Ce dossier a été renvoyé devant le Pôle judiciaire antiterroriste, où Moncef Marzouki fait face à vingt chefs d’accusation, incluant la provocation de troubles internes et la propagation de rumeurs.
Dans un message publié sur ses réseaux sociaux le même jour, l’ancien président a rappelé qu’il avait déjà été condamné à des peines de prison, de quatre et huit ans, pour deux affaires distinctes. Cette situation semble empêcher son retour en Tunisie, où de nouvelles poursuites judiciaires l’attendent.