En Algérie, les électeurs sont appelés à élire leur futur président le 7 septembre prochain. Alors que ce scrutin devait se tenir en décembre 2024, le chef de l’État sortant, Abdelmadjid Tebboune, a décidé de l’anticiper de deux mois et demi, accréditant la thèse que l’élection était déjà jouée d’avance, au profit, justement, du président Tebboune. Pourquoi celui-ci est-il déjà assuré d’être réélu