Kaïs Saïed l’a fait. En cinq ans, la Tunisie a vécu sans l’aide du FMI. Une gageure, si l’on se souvient que le pays maghrébin a englouti 4,65 milliards de dollars de prêts du grand argentier entre 2013 et 2019. Refusant les « diktats » imposés par les diverses institutions financières internationales, le chef de l’État s’enorgueillit d’avoir fait passer la part de la dette étrangère dans