« La France est l’un des pays dont l’épargne nous permettrait très bien de reprendre la main sur notre dette », quitte à « contraindre » les épargnants. Voilà la petite phrase lâchée par Sandrine Rousseau, le 2 avril dernier, lors d’une interview à l’émission Ecorama, sur Boursorama.com, et qui vient d’être ressuscitée des profondeurs du Web à l’approche du second tour des législatives.
Piocher dans l’épargne des Français pour pallier le risque que les investisseurs étrangers refusent de prêter à la France, dont le déficit public explose ? L’hypothèse avancée par la députée EELV-NFP, réélue au premier tour des législatives à Paris, a l’effet d’une bombe.
Une partie de ses opposants politiques s’en est récemment émue. Marine Le Pen (Rassemblement national), dans un tweet posté le 3 juillet…