Vivant en France depuis deux ans, l’opposant tunisien continue de militer, mais hors du cadre partisan traditionnel. S’il se montre critique à l’égard du président Saïed, il reconnaît aussi que la société a évolué et que le contexte n’est plus le même qu’en 2008-2009. Et il invite l’opposition à repenser sa façon d’agir et à fixer ses priorités.